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George Beurling & Leslie Roberts

Malta Spitfire

Malta Spitfire

Mémoires d'une tête brûlée

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⚠️ Parution le 11 septembre 2025 ⚠️

« J'ai rencontré le sous-lieutenant George Beurling, DSO, DFC, DFM avec barrette, pour la première fois à Catfoss fin juillet 1944. 
Beurling — “Screwball” pour les amis — s'est écrasé en 1948 en décollant de Rome sur un vieil avion des surplus américains, bourré de munitions destinées à Israël au moment de la guerre de Palestine. […]
Pauvre George, il avait un besoin organique d'aventures et de danger et il n'avait pu se réadapter à la vie civile.
Je n'ai connu ni Navarre ni Nungesser, mais ce que j'ai pu apprendre d'eux — que j'admirais profondément — me confirme que Beurling était le pilote de cette guerre qu'ils auraient le plus aimé… » 
C'est ainsi que Pierre Clostermann, « Premier chasseur de France », plus grand as français de la Seconde Guerre mondiale, présente George Beurling dans Les Feux du ciel.

C'est le vent des plus grands récits d'aventures aériennes qui souffle sur les mémoires de George « Buzz » Beurling, écrites en 1943 juste après son tour d'opération à Malte (qui prit fin en octobre 1942). On retrouve beaucoup de la fougue d'un René Mouchotte, Pierre Clostermann ou Antoine de Saint Exupéry dans ce récit « à chaud » des exploits du plus grand as canadien. Au cours de l’été 1942, en seulement 14 jours de combat, Beurling a détruit 27 appareils allemands et italiens. Abattu en octobre 1942, il rend compte dans ses mémoires des ravages et de l’ivresse des combats de la bataille pour la Méditerranée.
Beurling, qui avait appris à piloter dans son adolescence, fut recalé de la RCAF mais réussit à s’engager dans la RAF en 1939, où il suivit un entraînement de pilote de Spitfire. Il acquit assez rapidement une réputation de tireur hors pair. C’était aussi un loup solitaire, un pilote qui rompait régulièrement la formation et ne respectait pas scrupuleusement les ordres. 
En juin 1942, il est envoyé sur la petite île de Malte, la dernière maigre possession des Alliés dans la région, assiégée depuis des mois. Les victoires remarquables de Beurling n’aidèrent pas seulement les Alliés à renverser le sort des armes en leur faveur, mais eurent un effet décisif pour relever un moral qui en avait désespérément besoin.
Il survécut à la guerre, mais trouva la mort le 21 mai 1948 pendant qu’il convoyait un avion de l’Italie vers la Palestine pendant la guerre israélo-arabe. Il avait 26 ans.

 


Format roman · mémoires · ISBN 978-2-940785-35-3 · 14,2 x 21,4 cm · 240 pages · noir & blanc · reliure souple · cahier de photographies

Traduction de l'anglais (États-Unis) : Sylvain Savarin
Conseil historique et aéronautique : Iza Bazin

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